O pure élévation ! ( dédié à Tourterelle )
Page 1 sur 1
O pure élévation ! ( dédié à Tourterelle )
O pure élévation !
Dédié à Tourterelle
Sur la branche témoin de l'arganier que tu as quittée
Qui t'est la chambre à l'alcôve baignée au soin de rêve sûr
Geint l'atterré coeur de chagrin atteint de maux et de blessures
O ma mie miette muse en ce monde immonde sans équité
Feint finir sans ruse en cette fin d'août et fléchir en stase
Sein d'aréole ceint d'auréole teint d'alvéole de philtre en extase
Que point ne sevre ma lèvre de langueur ce bout de nez froid de chatte
Mirettes mielleuses pupilles rêveuses soyeuses rares agates
Dorée chevelure sacrée fée fais ô chaste nacrée Tourterelle
Que d'oraison d'oracle d'orage ne soit dépeint mon horizon
Que ton amour m'élève en toute saison sans besoin ni raison
O pure élévation !
O pure élévation !
Que même la langue ne peut décrire
Que voire les vocables n'osent écrire
Que ne rendra ni ode ni lai ni délire
Que ne compose ni vers ni rime ni strophe
Que je vis et où je tente ouïr la flore que j'apostrophe
La faune que j'apprivoise
La pierre narquoise
La bohème courtoise
Sur la ramille où le vent a bercé le souvenir de notre passion
Mon coeur gercé pincé percé grincé bat vénération adoration
Farid
Dédié à Tourterelle
Sur la branche témoin de l'arganier que tu as quittée
Qui t'est la chambre à l'alcôve baignée au soin de rêve sûr
Geint l'atterré coeur de chagrin atteint de maux et de blessures
O ma mie miette muse en ce monde immonde sans équité
Feint finir sans ruse en cette fin d'août et fléchir en stase
Sein d'aréole ceint d'auréole teint d'alvéole de philtre en extase
Que point ne sevre ma lèvre de langueur ce bout de nez froid de chatte
Mirettes mielleuses pupilles rêveuses soyeuses rares agates
Dorée chevelure sacrée fée fais ô chaste nacrée Tourterelle
Que d'oraison d'oracle d'orage ne soit dépeint mon horizon
Que ton amour m'élève en toute saison sans besoin ni raison
O pure élévation !
O pure élévation !
Que même la langue ne peut décrire
Que voire les vocables n'osent écrire
Que ne rendra ni ode ni lai ni délire
Que ne compose ni vers ni rime ni strophe
Que je vis et où je tente ouïr la flore que j'apostrophe
La faune que j'apprivoise
La pierre narquoise
La bohème courtoise
Sur la ramille où le vent a bercé le souvenir de notre passion
Mon coeur gercé pincé percé grincé bat vénération adoration
Farid
zalhoud- Nombre de messages : 40
Age : 65
Localisation : Tafraout
Date d'inscription : 25/06/2008
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|