"Tazriwin "Archach en deux versions
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Tazriwin Isker winu gh lmuhîbba nnesen tazriwin a mad ibêda d rrubuà i tasa d wul inghwi sul yall gigi asmaqqel izûla n lbaz imdîn ul hûrmigh ten a yadd i tîtt nnes is d izuyd rric rdûgh s a yelli d ikkan afus n Rebbi dàugh as Yan icwan kra s agh inna igh en illa gh wayyur nesker agharas gh umedlu ar wis sa igenwan labud an nesker tisekwefal i lghrêd ad kmmelen ur i ihul Hêmmu Namir igh d ikka igenwan ur i ihul uNamir igh isul ulla igh immut tghelb tinu tin uNamir is ghar isêbr yan ghemkad yad ur nsul wala mmutgh ad yeg wattân ghemkad yad un nmun wala felgh k ad yeg wattân neghd i temzit iyyi tegt i d lhênna i udâe nnem a Layla teskert inafalan gh mdden bla ran ghayd ifka Rebbi d id Qays ur sul injem yan isaqsa yyi walli n ufigh ar yalla igllin yak ahêbib ddunit agh illa ur illi gh lixert igh t ur zêrigh ass ixar ass ur izri wass mad akw ànan imzêran igh kwend ur jaran ay aman f waman ixlêd usmami d wawal ittut làaqel s umerriq n lmuhîbt nnun a winu ur ak neri tagat n Rebbi zêran angh. Arcac,iwaliwen n Sidi Hammou Talb | Tazriwin De sa passion, mon amour a filé tant de colliers elle a offert tant d’estompes argentées au foie, au cœur et m’a ensuite achevé Me fixant de regard, les cils d’un faucon friand de sang Je l’ai suppliée afin qu’elle baisse les yeux; elle en rajouté son plumage J’ai donc accepté mon sort et lui suis soumis ! Ô beauté! Quoique tu désires, soit-il sur la Lune Je me fraierai un chemin parmi les nuages jusqu’aux cieux lointaines Je ferai ainsi des escaliers pour satisfaire mon désir Peu m’importe Hmad Unamir s’il s’est envolé à l’Empirée Aucun souci pour Unamir qu’il vive ou qu’il périsse Mon calvaire est plus affreux que le sien, je l’ai supporté ! Souffrance est mon lot: celui d’un mort-vivant Dilemme d’un mal-aimé: ni adulé ni vraiment délaissé Écrase-moi ! Mouds-moi ! Et mets moi avec du Henné au tatouage de tes pieds Ô Leïla! Tu as rendu tant de personnes Fous de ton amour, malgré eux Que de Qaïs, Nom de Dieu, nul n’est épargné Ne voilà-t-il pas un pauvre bougre qui pleurniche et qui m’apostrophe: "L’amant n’est-ce pas, c’est ici et nulle part qu’il doit être ?" Si je ne le vois jour après jour, le jour me semble ne guère passer En sus, à quoi bon les retrouvailles si elles ne ramènent La goutte à la goutte. Les plaintes se mêlent aux paroles. Ô, raison lacérée de taloche collée de ta passion je ne te souhaite guère, mon amour d’être châtié. Traduction de Farid Mohamed Zalhoud Source: www.mondeberbere.com |
zalhoud- Nombre de messages : 40
Age : 65
Localisation : Tafraout
Date d'inscription : 25/06/2008
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